Ce bulletin rassemble les résultats de la veille documentaire sur l'actualité en santé et domaines connexes. Cette veille se base sur la lecture de Lettres d'actualités et de Revues de presse en ligne ainsi que sur le suivi de sites français et étrangers. Il est élaboré par les documentalistes de l'Irdes, Marie-Odile Safon et Véronique Suhard.
De périodicité bimensuelle, ce bulletin de veille présente les nouveautés selon les thématiques suivantes :
• Assurance maladie • Démographie • Economie de la santé • Etat de santé • Géographie de la santé • Handicap • Hôpital • Inégalités sociales de santé • Médicament • NTIC : Internet, open data • Politique de santé, politique sociale • Politique publique • Prévention • Prévision - évaluation • Psychiatrie • Réglementation • Science de l'information et de la communication • Soins de santé primaires • Sondages • Statistiques • Système de santé • Travail et santé • Vieillissement • Nominations
Les trois syndicats représentatifs des infirmiers ont signé avec l'Assurance Maladie, ce 27 juillet, l'avenant n° 9 à leur convention. Il revalorise la rémunération des IPA. Vaccination, aide à l'installation et télésoin y sont notamment évoqués.
> Hospimédia,
28 juillet 2022 (Accès abonnés)
> Audition du rapporteur au Sénat (vidéo)
> Rapport d'information du Sénat
Socialement injustes, les mesures en faveur du pouvoir d'achat adoptées cet été sont aussi une menace pour les finances de la Sécurité sociale et la santé de la planète.
> Alternatives économiques, 11 août 2022 (Accès abonnés)
Dans son rapport Charges et produits pour l'année 2023, la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam) propose son évaluation des expérimentations dites article 51. Cette réflexion lui permet de préciser ses pistes pour accompagner l'entrée de ces financements dérogatoires dans le droit commun. Les financements à l'épisode de soins ou par capitation, plus rares, sont ainsi ciblés.
> Hospimédia, 24 août 2022 (Accès abonnés)
> Le Quotidien du médecin, 27 juillet 2022
> Le Généraliste, 19 août 2022
> Site du centre national de coordination des addictions
Une méta-analyse espagnole souligne l'intérêt d'une activité physique régulière dans la lutte contre le Covid-19. Parus dans « British Journal of Sports Medicine », les résultats montrent une diminution du risque d'infection, d'hospitalisation et de décès associée à la pratique d'une activité chez l'adulte.
> Le Quotidien du médecin, 23 août 2022
> British Journal of Sports Medicine
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Le Généraliste, 23 août 2022
Les vagues successives de fortes chaleurs depuis le début de l'été semblent conforter l'hypothèse d'un lien étroit entre canicule et taux de mortalité. Même si les données définitives concernant ces épisodes sont attendues à la rentrée, des informations circulent. L'Inserm publie même une étude sur la hausse des suicides l'été.
> Hospimédia, 25 août 2022 (Accès abonnés)
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Site de Santé publique France
> American Journal of Epidemiology
> Le Généraliste, 23 août 2022
Dans une proposition de loi déposée le 3 août, des sénateurs portent plusieurs mesures pour garantir l'égalité d'accès aux soins. Ils suggèrent de mieux encadrer l'intérim médical dans les établissements et de le limiter dans le temps.
> Hospimédia, 16 août 2022 (Accès abonnés)
Les mesures prises début juillet suite à la mission flash pilotée par François Braun, en particulier le filtrage des demandes de soins via le 15, ont "limité la casse" cet été, admet dans Libération le Pr Louis Soulat, vice-président de Samu-Urgences de France. "Si contrairement aux années précédentes, l'activité n'a pas baissé en août, du moins elle n'a augmenté que de façon modérée, de l'ordre de 3% de passages en plus alors même que jusqu'à quatre services ont fermé simultanément au cours de l'été." Il note en même temps une explosion de l'activité des Samu, d'environ 30%. "Cela veut dire que les campagnes d'information ont fonctionné, que les gens sont passés par le 15 plutôt que de se rendre directement aux urgences", indique-t-il. "Le revers de la médaille, c'est que les centres de régulation du Samu ont croulé sous les appels, sans toujours avoir les moyens d'y répondre." En effet, même si les ARS ont débloqué des financements supplémentaires, les ressources humaines n'ont pas toujours suivi derrière. "
L'inflation renforce la pression sur les budgets des hôpitaux, déjà tendus par l'épidémie de Covid-19 et les pénuries de personnel. Energie, restauration, produits médicaux... "On constate des taux d'évolution des prix des travaux de l'ordre de 15 à 20% par rapport à ce qui était initialement prévu", note aussi Cécile Chevance, en charge des finances à la Fédération hospitalière de France (FHF). "On s'attend à des évolutions de prix sur d'autres prestations du type services de nettoyage, éliminations des déchets, etc." En juillet, la fédération évaluait ainsi à 750 millions d' le surcoût lié à l'inflation pour les hôpitaux publics. L'inquiétude monte aussi du côté du secteur privé. D'où la nécessité, d'une rallonge budgétaire dès cette année. "Le ministère est évidemment conscient des difficultés liées à l'inflation et travaille avec les fédérations à en identifier l'impact sur les établissements de santé", répond le cabinet de François Braun. L'Ondam pourrait ainsi être revu à la hausse dans les prochaines semaines, et d'une évolution encore plus marquée en 2023. La FHF plaide pour un minimum de 4 à 5% pour compenser l'évolution des coûts.
De plus en plus d'études démontrent que le fait d'être discriminé�e (dans l'accès au logement, à l'emploi, aux soins, etc.) a des effets sur la santé physique et mentale des personnes. En parallèle, l'état de santé des personnes, notamment celles souffrant de troubles psychiques, est parfois une cause de discriminations. Tout cela participe à créer ou renforcer des inégalités sociales, territoriales ou environnementales de santé.
L'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a annoncé le 8 août le renforcement des sanctions, à partir du 1er octobre, pour lutter contre les pénuries de certains médicaments. Ainsi, en cas de stock insuffisant, les fabricants seront soumis à une amende à hauteur de 20% du chiffre d'affaires annuel dégagé par le traitement. En cas de récidive, elle pourra être portée à 30%. Une seconde amende, quotidienne cette fois-ci, pourra en outre s'ajouter pendant toute la durée de la pénurie. L'ANSM prévoit toutefois des allégements dans certains cas, si le fabricant coopère avec les autorités de manière satisfaisante par exemple.
Les sénateurs LR ont fait adopter avec le soutien du gouvernement, dans le cadre de la loi de finances rectificative de 2022, un amendement prévoyant de remplacer les cartes Vitale par une carte biométrique. Destinée à lutter contre la fraude sociale, cette nouvelle mouture embarquerait notamment l'empreinte digitale de son bénéficiaire. Toutefois, alors que le coût de la fraude sociale reste difficile à chiffrer, celui de la carte Vitale biométrique pourrait rapidement s'envoler. Dans un rapport de la commission des Affaires sociales de 2019, la sénatrice LR Catherine Deroche évaluant les frais de fabrication à 15 , contre 4,40 pour une carte Vitale classique, soit un coût total de 900 millions d' pour équiper l'ensemble des Français. Sur la base d'un renouvellement moyen de 3,6 millions de cartes Vitale par an, la Caisse nationale d'Assurance Maladie a par ailleurs jugé que l'actualisation intégrale des cartes pourrait prendre vingt ans.
La généralisation de l'espace numérique de santé est soumise à de nombreuses conditions. La confiance des utilisateurs sera le catalyseur de la transformation. Le partage effectif des données sera la clef du succès. Si la puissance publique échoue, les opérateurs privés pourraient prendre le relais.
> Pharmaceutiques, 13 juillet 2022
Dans le cadre de France 2030, François Braun, ministre de la Santé et de la Prévention, et Roland Lescure, ministre délégué chargé de l'Industrie, annoncent avec Bruno Bonnell, secrétaire général pour l'investissement en charge de France 2030, la publication de l'appel à projets « Accompagnement et soutien à la constitution d'entrepôts de données de santé hospitaliers », doté de 50 millions d'euros et élaboré par le ministère de la Santé et de la Prévention et ses partenaires interministériels.
> Communiqué de presse du ministère de la santé
Amazon a annoncé jeudi 21 juillet l'acquisition du réseau de soins One Medical pour 3,9 milliards de $. Fondée en 2007, la société s'efforce de dynamiser et simplifier l'accès aux soins, à travers une combinaison de soins en présentiel, depuis des bureaux idéalement situés, et de services de santé numérique. Sa solution permet également de planifier des rendez-vous, demander des renouvellements d'ordonnance, accéder aux dossiers de santé à jour, etc. Elle est commercialisée en direct aux patients ou aux entreprises. Le groupe "a déjà lancé une pharmacie en ligne aux états-Unis, ce qui est logique vu son expertise du e-commerce. Plus récemment, il a développé Amazon Care, un service permettant de prendre des rendez-vous médicaux en visio ou physiques destiné au départ à ses salariés, mais qu'il ouvre progressivement à d'autres entreprises.
> L'Usine digitale, 22 août 2022
Doctolib, spécialiste de la prise de rendez-vous médicaux en ligne, est sous le feu de critiques en raison de certains profils aux pratiques non réglementées sur sa plateforme, dont des naturopathes, proches du charlatanisme et à dérives sectaires. La situation est remontée jusqu'à Sonia Backès, secrétaire d'état chargée de la Citoyenneté, qui a saisi le président de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), Christian Gravel. L'Ordre des médecins demande à Doctolib de renforcer ses règles d'inscription. Le président du premier syndicat de médecins libéraux (CSMF), Franck Devulder, appelle de son côté "l'Etat de clarifier les pratiques de certains professionnels qui relèvent parfois du charlatanisme" et le ministre de la Santé à "réglementer l'accès aux médecines alternatives et d'en interdire toute publicité".
> Avis de l'Ordre national des médecins
à l'heure où l'hôpital de Corbeil-Essonnes est toujours aux prises avec une cyberattaque, le gouvernement a promis vendredi 26 août 2022 une nouvelle enveloppe de 20 millions pour aider les hôpitaux à renforcer leur sécurité informatique. Ces fonds additionnels sont destinés à l'Agence nationale de sécurité des systèmes d'information (Anssi), qui bénéficie déjà d'un budget de 18 millions pour son plan de sécurisation des établissements "d'importance vitale" déployé depuis le début d'année 2021. Environ 130 hôpitaux ont d'ailleurs commencé les démarches, dont le CH de Corbeil-Essonnes, qui venait de terminer, dans ce cadre, un diagnostic de sécurité et s'apprêtait à passer aux travaux pratiques au mois de septembre.
L'Europe installe progressivement un nouveau modèle du numérique en santé. Celui-ci s'inscrit dans un cadre de valeurs, en association avec des référentiels techniques partagés et des procédures d'accès au marché clarifiées et simplifiées. Le travail collaboratif mené durant la présidence française du conseil de l'Union européenne y a contribué .Une étude comparée sur le numérique en santé au sein des différents états membres, réalisée en partenariat avec le cabinet de conseils EY a évalué le niveau de maturité de chaque membre sur différentes dimensions. Restitués lors d'un webinaire en avril dernier, les résultats tiennent en cinq constats principaux, d'après le rapport final diffusé ce 26 juillet par l'Agence du numérique en santé.
> Hospimédia, 30 août 2022 (Accès abonnés)
> Rapport de l'Agence du numérique en santé
Le Monde a interrogé six ex-ministres de la santé sur les vingt dernières années de réforme, et ce qui aurait dû être décidé, ou ne pas être lancé pour éviter la situation actuelle. Tous reconnaissent la responsabilité du numerus clausus qui n'a cessé de baisser à partir de 1977 (8.671) jusqu'à son plus bas à 3.500 en 1993, suivi d'une quasi-stagnation jusqu'au début des années 2000. "C'était insensé, totalement absurde", lâche Jean-François Mattei, qui est arrivé au ministère de la Santé en 2002. "C'est moi qui ai amorcé sa remontée." Agnès Buzyn souligne en même temps l'évolution des pathologies liées au vieillissement de la population. "On n'avait pas perçu à quel point les progrès thérapeutiques allaient permettre de prolonger la vie des gens, mais avec des maladies chroniques." Autre problématique soulevée : la fin de l'obligation de gardes, en 2002. Malgré les discussions avec les syndicats de médecins, très vite, "on constate qu'il était très difficile d'obtenir que les médecins fassent les gardes", raconte Philippe Bas, ministre en 2007. La question de la liberté d'installation aussi est débattue. Arrivée Avenue de Ségur en 2007, Roselyne Bachelot tente d'ouvrir le dossier en posant la réforme du conventionnement sélectif. "Et là je vais susciter le blocage de la médecine de ville, ce qui est exactement le problème à l'heure actuelle, j'ai l'impression de vivre le retour vers le passé", avance l'ex-ministre. Son successeur, Xavier Bertrand, juge pourtant que "le pouvoir politique n'a pas peur de contrarier les médecins". "Le fond du problème, c'est que, lorsque les médecins ne sont plus en confiance, pointe en germe la crise des vocations", explique-t-il. Marisol Touraine, enfin, regrette de ne pas avoir eu les marges nécessaires pour revaloriser les soignants. "On m'a dit non, parce que cela aurait un impact sur toutes les autres fonctions publiques. On ne peut pas fonctionner comme ça."
En cause, des besoins en hausse face au vieillissement des populations et un nombre insuffisant de soignants formés. Pour relever le défi, l'Allemagne compte sur un recours massif à la main-d'œuvre étrangère. Un médecin sur cinq en exercice dans le pays est né à l'étranger. En Belgique, le ministre fédéral de la santé ambitionne de réformer en profondeur la formation des médecins. Il suggère aussi un allègement drastique des tâches administratives et une délégation des tâches.
Le bureau de la commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale a acté, en juillet dernier, la création de deux groupes de travail «transpartisants» sur l'accès aux soins et la longévité et l'autonomie. Le premier contribuera notamment aux travaux de la Conférence des parties prenantes. «La répartition de ces groupes de travail reflétera la composition de l'Assemblée nationale et l'équilibre entre la majorité et les oppositions», précise un communiqué de Fadila Khattabi, présidente de la commission. Co-présidés par un député de la majorité et de l'opposition, ils devront remettre leurs conclusions avant l'examen du prochain PLFSS, en vue de l'alimenter. La rapporteure générale de la commission, Stéphanie Rist (Renaissance) a estimé auprès d'APM News que «la situation a changé et la méthode de travail doit changer aussi», dans le cadre du prochain PLFSS. La députée de la majorité a invité le gouvernement à soumettre au Parlement «les textes les plus courts possible, les plus utiles et indispensables possible». En vue de l'examen du budget 2023 de la Sécu, la commission a également désigné cet été les rapporteurs thématiques. Sans surprise, Stéphanie Rist est chargée de l'équilibre général, des recettes et de la branche Maladie. Caroline Janvier (Renaissance) est chargée de l'Autonomie. La branche Vieillesse reste confiée à Cyrille Isaac-Sibille (Modem). Paul Christophe (Horizons) suivra la Famille et Thibault Bazin (LR) les AT-MP.
> Espace social européen, 30 août 2022
Le Comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires, qui remplace le Conseil scientifique spécial Covid dissous le 31 juillet, est officiellement mis en place ce mercredi 17 août 2022 avec la nomination, au Journal officiel, de sa présidente, Brigitte Autran. Professeure d'immunologie, spécialiste du VIH reconnue internationalement pour ses travaux sur les trithérapies, elle est aussi experte en vaccin. Elle œuvrait d'ailleurs déjà discrètement au Conseil d'orientation de la stratégie vaccinale contre le Sars-Cov 2.
Les autorités compétentes de Belgique, France, Allemagne, Luxembourg, Pays-Bas, Espagne et Suisse ont adopté le 26 juillet les évolutions de l'algorithme du Nutri-Score pour les aliments, élaborées par le comité scientifique. Ces évolutions renforceront l'efficacité du Nutri-Score pour classer les aliments en cohérence avec les recommandations alimentaires, et ainsi guider les consommateurs vers des choix alimentaires favorables à un meilleur état de santé.
> Site du ministère de la santé
La stratégie de prise en charge de l'asthme a été actualisée récemment par la Société de pneumologie de langue française (SPLF), avec un positionnement thérapeutique différent des préconisations internationales de la Gina.
> Les nouvelles recommandations
> La Santé en action, juin 2022
> The Conversation, 19 juillet 2022
Partout, dans les hôpitaux de France, le nombre d'adolescents et d'enfants "présentant un syndrome dépressif modéré à sévère" connaÎt une hausse vertigineuse depuis la fin du premier confinement. Déjà sous tension, le secteur de la pédopsychiatrie prend l'eau désormais, faute de structures adaptées et de moyens humains. Le Monde cite l'exemple du CHU de Nantes, où près de 900 mineurs de moins de 16 ans sont passés par l'accueil des urgences pédiatriques en 2021 pour des troubles psychologiques. "430 ont été hospitalisés, contre 250 à 280 avant l'épidémie", énonce la Pr Christèle Gras-Le Guen, cheffe du service. "On aurait dû en hospitaliser davantage, mais on n'avait aucune solution." "Avant, on faisait du soin, ajoute Laurence Dreno, pédopsychiatre au CHU. "On voyait les patients, on les prenait en charge. Et puis on les orientait vers des consultations en centre médico-psychologique. Désormais, on fait du tri." Les jeunes les plus agités sont désormais transférés, parfois dès l'âge de 10 ans, en psychiatrie adulte à l'hôpital Saint-Jacques de Nantes, "dans des chambres d'isolement", déplore Christèle Gras-Le Guen.
> The Conversation, 22 août 2022
Les deux décrets relatifs à la réforme des autorisations de l'activité de médecine sont désormais publiés, avec des mesures spécifiques pour la pédiatrie. L'organisation des locaux doit distinguer l'unité à temps partiel de l'unité à temps complet. Ce nouveau régime comprend aussi des obligations relatives aux personnes âgées dépendantes.
Participation à la crise sanitaire, IPA en activité exclusive ou encore engagement dans la qualité et implication des usagers... sont des indicateurs valorisés dans le nouvel avenant à l'accord conventionnel interprofessionnel des maisons de santé.
> Hospimedia, 4 août 2022 (accès abonné)
Suivant l'avis de la Haute Autorité de santé, un arrêté publié ce jeudi 18 août au Journal officiel autorise les sages-femmes à vacciner les mineurs "selon les recommandations du calendrier des vaccinations en vigueur".
> Youtube
Créé en Pologne, il contient pratiquement toutes les langues du monde. Il popose une vérification de la grammaire et de la conjugaison. Il Contient également un dictionnaire avec accès par images.
> Globse
Hervé Maisonneuve, auteur de ce blog, présente sa vision des publications durant la période de pandémie. Celle-ci apparait comme une période extraordinaire pour les publications scientifiques : les revues n'étaient pas préparées à recevoir en moyenne trois fois plus d'articles soumis, toutes disciplines confondues.
> Blog Revues & intégrité, Hervé Maisonneuve, 8 juin 2022
> Science direct : Bulletin de l'Académie nationale de médecine - Août 2022
« Annoncée le 20 juillet 2022, la version finale de l'accord pour la réforme de l'évaluation de la recherche a été présentée lors d'une assemblée des différentes parties prenantes regroupant plus de 350 organisations de plus de 40 pays parmi lesquelles se trouvent de nombreux établissements français. L'accord est le résultat d'un travail de co-rédaction mené par l'European University Association, Science Europe et la Commission européenne.
Une enquête publiée ce 25 août révèle qu'un quart des médecins français entreprend une activité complémentaire, fréquemment en dehors de leur activité initiale. Un sur trois envisage même une reconversion non médicale.
> Le Généraliste, 25 août 2022
> Blog de l'Insee, 8 août 2022
Le bilan de l'évolution de l'offre médico-sociale rend compte de l'évolution de l'offre à destination des personnes âgées et des personnes handicapées, tarifée par les ARS à partir des crédits du fonds de financement des établissements et services médico-sociaux de la branche Autonomie. Il met en lumière les dynamiques nationales et régionales associées à l'utilisation des crédits et au développement de solutions, dans une optique d'amélioration et d'individualisation de la réponse aux besoins des personnes. Ce document propose notamment une analyse fine des taux d'équipement et des disparités territoriales.
ISSN 2824-9658